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Communiqués de presse 2022

Paris, le 27 juin 2022

Dans une lettre adressée à Josep Borrell Fontelles, haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, le directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal, Shimon Samuels, le mettait en garde : son discours de Téhéran faisait écho à la déclaration de Neville Chamberlain de 1938. Après une discussion qu’il avait eue avec Adolf Hitler, le Premier ministre du Royaume-Uni avait déclaré : « ... Je reviens d’Allemagne et j’apporte la paix avec honneur. Je crois sincèrement que c’est la paix pour notre temps... Rentrez chez vous et dormez sur vos deux oreilles. »

M. Samuels invoquait M. Borrell : « En tant que citoyen binational espagnol et argentin, rappelez-vous le rôle que Téhéran a joué dans l’attentat de Buenos Aires perpétré en 1992 contre l’ambassade d’Israël (29 morts et 242 blessés) et dans le massacre du centre juif Amia en 1994 (85 morts et plus de 300 blessés). »

Paris, le 20 juin 2022

Le directeur des Relations internationales du Centre Simon Wiesenthal, Shimon Samuels, commente les élections législatives françaises de ce week-end. « Les candidats se sont concentrés sur les questions internes de pouvoir d’achat et de mécontentement populaire. Le parti Ensemble ! du président Macron a considérablement chuté, n’obtenant à l’Assemblée nationale qu’une majorité relative de 245 sièges sur un total de 577».

Pour adopter des lois, la majorité au pouvoir devra soit former une coalition bancale avec un autre parti pour atteindre le minimum de 289 sièges, soit rassembler des fragments de consentement sur des questions spécifiques, entraînant des négociations laborieuses dans les commissions parlementaires et les couloirs du palais Bourbon – une situation à laquelle la France n’est pas habituée, contrairement à d’autres démocraties où la représentation proportionnelle est la norme, comme Israël, la Belgique ou l’Espagne.

Article de Shimon Samuels et Ariel Gelblung publié en anglais dans The Jerusalem Post
le 19 juin 2022
https://www.jpost.com/opinion/article-709855

À l’approche du 28e anniversaire de l’attentat à la bombe du centre juif Amia à Buenos Aires

19 June 2022 1
Shimon Samuels (à droite) et feu le procureur Alberto Nisman. Le diagramme explique
le
réseau terroriste iranien en Amérique du Sud (photo Centre Simon Wiesenthal).

En juin 2019, 73 tonnes d’or en provenance du Venezuela ont été expédiées au Moyen-Orient. Selon les rapports d’enquêtes du Centre Simon Wiesenthal, les lingots contenaient du Zahngold l’or des obturations de dents arrachées aux cadavres juifs de la Shoah avant que leurs corps ne soient transportés des chambres à gaz aux fours crématoires.

Genève, le 15 juin 2022

« Parmi les attaques contre Israël proférées au Conseil des droits de l’homme, les accusations de colonialisme, d’apartheid et de violence disproportionnée sont incessantes », déclarait Shimon Samuels, le directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal et observateur permanent auprès de l’Office des Nations unies à Genève (ONUG).

Dans ce maelström est apparue une nomination douteuse.

La Corée du Nord – avec ses missiles balistiques et ses menace de déclencher la bombe atomique – a été nommée présidente des soixante-cinq États membres de la Conférence du désarmement.

L’ambassadeur Han Tae Song de « la République populaire démocratique de Corée » (RPDC) a déclaré : « La RPDC reste attachée à la paix et au désarmement dans le monde et accorde de l’importance aux travaux de la Conférence... » M. Samuels a observé que « pas un seul représentant d’un État occidental n’est sorti de la réunion ».

La nomination de la Corée du Nord suit celle de la République islamique d’Iran, en mars 2022, qui a débuté un mandat de quatre ans à la Commission de la condition de la femme de l’ONU.

Article de Shimon Samuels publié en anglais dans The Jerusalem Post
le 8 juin 2022
https://www.jpost.com/opinion/article-708920

On ne peut pas acheter la paix. Mais l’incitation à la haine par le biais de médias hostiles attise le feu de Goebbels et, hélas, les mensonges persistent.

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L’ambassadeur américain en Allemagne de l’époque, Richard Grenell, assiste à un rassemblement
pour protester contre les préjugés anti-israéliens devant le Conseil des droits de l’homme
de l’ONU à Genève, en 2019 (photo Denis Balibouse/Reuters).

À chacune de ses sessions, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies à Genève régurgite le tristement célèbre point 7 relatif à Israël et aux TPO – les dénommés Territoires palestiniens occupés.

Vient ensuite le point 8, qui s’applique au reste du monde.