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Communiqués de presse 2020

Par le directeur des Relations internationales du Centre, Shimon Samuels

Paris, le 17 décembre 2020

Cette semaine, la cour d’assises spéciale de Paris a rendu son verdict. À la barre : quatorze complices des attentats terroristes des 7 et 9 janvier 2015, dont le bilan s’élève à onze morts parmi l’équipe de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo ainsi qu’un gardien de la paix, une policière tuée à Montrouge et quatre morts au supermarché Hyper Cacher.

Pour ces quatorze inculpés, les peines allaient de quatre ans de prison à la réclusion à perpétuité. Trois d’entre eux ont été condamnés par contumace. Sur les onze accusés présents, six ont été moins pénalisés, pour crimes non terroristes.

Les personnes identifiées comme complices ont été inculpées pour financement, fourniture d’armes et autres soutiens aux terroristes.

« Rejoignez-nous pour demander l’expulsion de l’Association palestinienne de football de la Fifa, au motif que ses stades, équipes et tournois sont dédiés à la glorification de terroristes. »

Paris, le 15 décembre 2020 

Dans une lettre adressée au PDG de l’équipementier sportif Puma, Björn Gulden, le directeur des Relations internationales du Centre Simon Wiesenthal, Shimon Samuels, attirait son attention sur « une affiche diffamatoire diffusée en France, qui accuse Puma d'être le ‘‘sponsor officiel du colonialisme israélien’’ ».

15 December 2020

« Cette définition s’applique au terrorisme et à la haine antisémites suscités par la perpétuation du conflit au Moyen-Orient, ainsi qu’aux comportements antisémites au sein des institutions. »

Paris, le 6 décembre 2020

Dans une lettre adressée à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, le directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal, Shimon Samuels, lui rappelait qu’en 2017, il avait « félicité l’Union européenne (UE) pour son adoption de la définition de l’antisémitisme de l’IHRA (Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste). On pourrait maintenant considérer cette approbation comme un geste vide, tant que les États membres continueront de financer la haine des Palestiniens pour les Juifs ».

Éditorial de Shimon Samuels publié en anglais dans The Jerusalem Post
le 29 novembre 2020

https://www.jpost.com/opinion/jaccuse-in-the-shadow-of-dreyfus-at-the-european-union-650621

Depuis plus d’un an, le Centre Simon Wiesenthal soutient une employée juive espagnole, titularisée depuis 1996 et aujourd’hui haut fonctionnaire de la Commission européenne.

29 Nov. 2020
Cette salle de réunion où va se tenir un sommet des dirigeants de l’UE est spécialement adaptée
pour maintenir la distanciation sociale, au beau milieu de l’épidémie de coronavirus.
Siège du Conseil européen à Bruxelles, Belgique, le 16 juillet 2020 (photo Yves Herman / Reuters).

Le 26 août dernier, on a annoncé à l’employée qu’elle serait congédiée le 1er septembre. Elle s’est retrouvée avec son assurance maladie résiliée, en pleine pandémie de la Covid-19.

« Les familles des victimes et les survivants de l’attentat de la rue des Rosiers méritent de pouvoir faire leur deuil. »

Paris, le 29 novembre 2020

Le 11 septembre 2020, le directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal, Shimon Samuels, avait écrit à la Première ministre de Norvège, Erna Solberg, pour la féliciter de l’arrestation de Walid Abdulrahman Abou Zayed, l’auteur présumé de l’attentat terroriste du 9 août 1982 commandité par l’Organisation Abou-Nidal.

Les agences de presse de l’époque avaient vigoureusement condamné cet attentat : « Armés de mitrailleuses, de pistolets et de grenades, quatre terroristes ont tué six personnes et en ont blessé vingt-deux, à l’heure du déjeuner, dans le restaurant Goldenberg de la rue des Rosiers, dans le quartier juif de Paris. »