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Paris, le 13 juillet 2022

Les ministères des Affaires étrangères d’Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, France, Irlande, Italie, Pays-Bas et Suède ont convenu de poursuivre leur « coopération et solide appui à la société civile dans les ‘‘TPO’’ (territoires palestiniens ‘‘occupés’’) », relevait Shimon Samuels, le directeur des Relations internationales du Centre Simon Wiesenthal.

La déclaration affirmait ensuite qu’« une société civile libre et forte est indispensable pour promouvoir les valeurs démocratiques... ».

La plupart de ceux qui connaissent la réalité palestinienne considéreraient ce langage comme « du charabia », ironisait M. Samuels.

La bande de Gaza est dirigée par le Hamas terroriste, financé par le Qatar et l’Iran. Cette branche des Frères musulmans a montré sa forme de « civilité » auprès du Fatah en en jetant des membres nationaux du haut de bâtiments.

La charte du Hamas appelle au meurtre des Juifs où qu’ils se trouvent. Les neuf pays européens doivent savoir que « les valeurs démocratiques » et « la société civile » n’ont pas leur place à Gaza.

En Cisjordanie, « les valeurs démocratiques » n’ont jamais été instituées, compte tenu de l’annulation des élections par l’Organisation de libération de la Palestine (l’OLP) et le Fatah... essentiellement pour empêcher le maître du terrorisme, le Hamas, de prendre le contrôle de tous les Palestiniens.

On pourrait demander aux contribuables européens s’ils soutiennent les terroristes emprisonnés ou leurs familles. Car celles-ci reçoivent des indemnités pour leurs membres « martyrs » grâce au programme « Payer pour tuer » – officiellement le « Fonds des martyrs de l’Autorité palestinienne ». Les auteurs de violences contre des Israéliens ou des Juifs perçoivent une allocation mensuelle.

Savent-ils comment l’UNRWA, l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient – agence onusienne qui perpétue le statut de réfugié palestinien depuis soixante-dix ans plutôt que de le résoudre ! –, est financé par chaque État membre de l’ONU avec l’argent des citoyens qui tentent de joindre les deux bouts ?

Seraient-ils offusqués s’ils savaient que l’UNRWA subventionne actuellement des manuels scolaires qui exhortent les enfants palestiniens à haïr et à assassiner les Juifs ?

« Le Centre Wiesenthal en appelle à la Commission européenne pour qu’elle ouvre les yeux sur la véritable face de cette ‘‘société civile’’ et de ses ‘‘valeurs démocratiques’’ et pour qu’elle reconsidère ses largesses en matière de financement de la haine et de la violence dans les ‘‘TPO’’ », concluait Shimon Samuels.