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Le Centre Simon Wiesenthal a prié instamment la chancelière Angela Merkel « de suspendre cet accord inconcevable jusqu’à ce que l’Autorité palestinienne retire tous les noms de terroristes de tous les secteurs du sport palestinien, et que les actes terroristes soient officiellement condamnés par Ramallah ».

Paris, le 7 février 2017

Le directeur des Relations internationales du Centre Simon Wiesenthal, Shimon Samuels, faisait part du profond dégoût que lui inspire « le fait que l’Allemagne d’aujourd’hui puisse être associée, à travers le sport, à une flagrante sanctification de tueurs de Juifs, qui rappelle tristement les jeux Olympiques nazis de 1936 et les atrocités de Munich perpétrés en 1972 ».

Le représentant allemand de la « Palestine », Peter Beerwerth, a annoncé « être fier » d’avoir financé l’agence palestinienne du sport qui a baptisé tous les stades, tournois et clubs en l’honneur de terroristes responsables du meurtre de Juifs. On compte parmi ces terroristes l’organisateur du massacre perpétré aux jeux Olympiques de Munich, en 1972, qui a coûté la vie à l’équipe israélienne. C’est aussi le meurtrier de deux diplomates américains.

« L’accord signé avec le partisan du terrorisme Jibril Rajoub engage l’Allemagne à payer toutes les dépenses et tous les frais afférents à l’apport allemand de compétences au service du football palestinien », indiquait M. Samuels.

Il y a peu, le Centre Simon Wiesenthal fournissait à la Fifa (Fédération internationale de football association) et au Bureau des Nations unies pour le sport au service du développement et de la paix une liste d’assassins élevés au rang d’icônes dans toutes les activités sportives palestiniennes.

La liste complète de ces vingt et une instances qui glorifient la terreur (établie par Palestinian Media Watch, <www.palwatch.org>) est consultable en cliquant sur le lien à la fin de cet article.

Le Centre priait instamment la chancelière Angela Merkel « de suspendre cet accord inconcevable jusqu’à ce que l’Autorité palestinienne retire tous les noms de terroristes de tous les secteurs du sport palestinien et que les actes terroristes soient officiellement condamnés par Ramallah ».

M. Samuels soutenait que, « en associant ses héros sportifs à des terroristes antisémites, l’Autorité palestinienne fomente délibérément la haine auprès de sa jeunesse et, ce faisant, détruit tout espoir de paix. Si Berlin souhaite raviver l’esprit de la paix, elle devrait peut-être inviter les équipes de football israéliennes et palestiniennes à un match ‘‘amical’’, malgré la définition que M. Rajoub, ministre des Sports, donne des rencontres sportives entre jeunes Palestiniens et leurs pairs israéliens : ‘‘un crime contre l’humanité’’ ».

Les 21 instantes palestiniennes qui glorivient la terreur (en anglais) :
http://wiesenthal-europe.com/administrator/images/Palestinian_Football_Clubs.pdf