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Paris, le 22 mai 2024

« Lorsque la Cour pénale internationale (CPI) a été créée par le Statut de Rome en 1998, nous pensions que son rôle refléterait le travail de feu Simon Wiesenthal, à savoir, poursuivre les criminels de guerre », déclarait Shimon Samuels, aujourd’hui directeur émérite des Relations internationales du Centre Wiesenthal.

M. Samuels déplore que, « malheureusement, la décision préliminaire de la CPI contre Israël a montré qu’une fois de plus, une institution liée aux Nations unies a été infectée par un parti pris politique en tant qu’instrument du déni palestinien de la souveraineté juive ».

Les États-Unis et Israël n’ont jamais rejoint la CPI, de peur d’être placés sur le banc des accusés. Ceci est devenu une réalité lorsque la Palestine a adhéré au Statut de Rome en juin 2014 et qu’elle a lancé une série de manœuvres pour manipuler la Cour afin de cibler Israël, malgré le statut palestinien d’« entité non étatique, non souveraine et aux frontières non définies ».

M. Samuels soulignait que « les États-Unis, en tant que partie non membre – tout comme Israël vis-à-vis de la Palestine –, avaient été attaqués pour des crimes présumés en Afghanistan lors d’une session à laquelle assistait le Centre Wiesenthal de l’époque, en tant qu’amicus curiae dans ces procédures ».

22 May 2024
Shimon Samuels avec Dov Jacobs, juriste basé à La Haye,
et l’avocat londonien Joshua Kern. Ces deux experts de la CPI
ont plaidé contre la capacité de la CPI à exercer sa compétence
dans le cas des non-États parties (photo CSW-Europe, décembre 2019).

Le Centre Wiesenthal a appelé à une action conjointe si une éventuelle enquête de la CPI aboutissait à des mandats d’arrêt pour la détention de hauts responsables israéliens ou américains, lors de voyages qu’ils effectueraient à l’étranger.

La Cour a toutefois déclaré que « les conséquences éventuelles qui pourraient découler de la présente décision ne relèvent pas du mandat de la Chambre ».

Dans le contexte actuel, la CPI doit être considérée comme responsable d’avoir encouragé les dirigeants et le peuple palestinien à croire que les négociations de paix sont inutiles et que, plus la violence terroriste est vicieuse, plus il est probable qu’une réponse légitime soit condamnée par les tribunaux.

Et c’est en effet ce qui s’est passé : un groupe d’États dirigés par l’actuel gouvernement antisémite sud-africain et le procureur de la CPI appellent à l’application de mandats d’arrêt, plaçant ainsi l’État juif au niveau des terroristes du Hamas.

« En tant qu’organisation basée en France, nous nous tournons vers le président Macron pour qu’il instaure de puissantes mesures afin de contrer cette parodie – de peur que la France ne soit elle-même accusée pour ses opérations contre le terrorisme en Afrique du Nord ou pour sa réponse à la violence dans les territoires français à l’étranger », concluait Shimon Samuels.

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