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Communiqués de presse 2017

« Nous sommes conscients que la revendication palestinienne d’exclure l’association de football israélienne risque d’être présentée au Conseil et au Congrès de la FIFA, respectivement les 9 et 11 mai prochain… Inversement, nous demandons que la Fédération de Palestine de football soit exclue de la FIFA jusqu’à ce que tous les noms des terroristes soient retirés des clubs, tournois et stades palestiniens. »

Paris, le 4 mai 2017

Le directeur des Relations internationales du Centre Simon Wiesenthal, Shimon Samuels, a adressé une lettre au président de la FIFA (Fédération internationale de football association), Gianni Infantino, et au directeur de son Département disciplinaire, Jaime Cambreleng, pour protester contre les tentatives répétées des Palestiniens de politiser le football : ceux-ci réclament en effet l’expulsion de l’association de football israélienne (Israeli Football Association, IFA) de la FIFA.

« Au contraire, c’est la Fédération de Palestine de football (FPF) qui doit en être exclue, pour cause d’infraction à la réglementation de la FIFA », soutenait M. Samuels.

Éditorial par Shimon Samuels publié en anglais sur le site de The Times of Israel

<http://blogs.timesofisrael.com/unesco-the-road-to-the-abyss>

le 3 mai 2017

En date du 69e Jour de l’indépendance de l’État d’Israël, les 58 États membres du Conseil exécutif de l’Unesco ont voté une énième résolution pro-palestinienne déniant tout lien entre les Israéliens/les Juifs et Jérusalem.

La résolution a été adoptée, comme prévu, avec 22 votes « pour » et 10 « contre » (la Grèce, l’Italie, la Lituanie, les Pays-Bas, le Paraguay, Saint-Kitts-et-Nevis, le Togo, l’Ukraine, le Royaume-Uni et les États-Unis), soulignant la désunion au sein de l’Union européenne et la possibilité de convaincre de nouveaux amis parmi les États africains, les Caraïbes et l’Amérique du Sud.

À l’issue de ce vote, l’Allemagne jubilait de la reconnaissance accordée par le texte à Jérusalem, Hébron et Bethléem en tant que lieux saints pour les trois religions monothéistes.

L’Argentine notait que le contenu politique n’avait pas sa place à l’Unesco. Le Brésil approuvait cette affirmation.

Les États-Unis condamnaient la politisation renforcée qui diminue le prestige de l’Unesco.

La Suède reconnaissait les efforts des amendements palestiniens et jordaniens et ajoutait que, comme on ne parvenait pas à une unité européenne, elle avait voté « oui ».

L’ambassadeur d’Israël, enveloppé dans un drapeau israélien, s’était exclamé : « Voilà où nous en sommes et voilà où nous demeurons. »

La Jordanie soulignait que, sur les lieux saints de Jérusalem, les sites aussi bien musulmans que chrétiens étaient la première des priorités.

Pour terminer, les Palestiniens prévenaient que ce vote ne changerait rien à leur politique : « Nous poursuivrons notre combat pour la Palestine et pour Jérusalem. »

Plus inquiétant fut le vote, peu remarqué, sur la résolution « culturelle » 31 de suivi, relative « aux affrontements armés d’Israël dans la bande de Gaza… aux élèves et étudiants palestiniens empêchés d’exercer leur plein droit à l’éducation… à la censure exercée par Israël sur les programmes scolaires et universitaires des Palestiniens de Jérusalem Est… à l’appel lancé à l’Unesco pour préserver le tissu humain, social et culturel du Golan syrien occupé... »

Cette résolution a été adoptée avec 18 voix en sa faveur contre 1 « non » (les États-Unis) et 39 abstentions.

L’étape suivante de cette usurpation d’identité exponentielle de l’histoire juive et chrétienne aura lieu à Cracovie (Pologne) en juillet prochain, au Comité du patrimoine mondial de l’Unesco. 21 États membres s’y prononceront, une fois encore, sur Jérusalem et, vraisemblablement, sur Qumran et les manuscrits de la mer Morte – sur la liste des souhaits palestiniens.

Mais les événements les plus dramatiques surviendront en novembre à la Conférence générale, qui réunira tous les États membres. C’est à cette occasion que le nouveau directeur général sera élu – le ministre qatari de la Culture étant le grand favori. Les nouveaux présidents de la Conférence générale et du Conseil exécutif y seront également nommés. Prenez vos billets !

- Pour la Conférence générale : l’Arabie Saoudite

- Pour le Conseil exécutif : l’Iran (non, ce n’est pas un cauchemar, c’est la réalité!).

C’est à ce moment-là que l’Unesco se trouvera au bord du précipice. Fera-t-elle un énorme pas en avant ?

« Le plus inquiétant, c’est que tant de haine tapisse le décor de la résolution qui dénie le patrimoine juif dans tout Jérusalem, Est et Ouest, résolution qui doit être soumise au vote à la fin de la session. »

Paris, le 25 avril 2017

Le Centre Simon Wiesenthal assiste à la 201e session du Conseil exécutif de l’Unesco. Il est représenté par son observateur permanent, Shimon Samuels.

M. Samuels indiquait que « l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture fut fondée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, avec l’objectif d’éloigner les forces de la haine et de la discrimination du discours diplomatique ».

Cette semaine, le 201e Conseil exécutif, composé de cinquante-huit Etats membres, auditionnera neuf candidats au poste de directeur général, poste qui sera pourvu en novembre prochain pour succéder à Mme Irina Bokova.

« Téhéran commandite terreur, antisémitisme et homophobie. Ces délits doivent être portés à l’ordre du jour de la prochaine session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, en juin prochain. » 

Paris, le 24 avril 2017

Dans une lettre adressée au Haut Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, Zeid Ra’ad Al Hussein, le directeur des Relations internationales du Centre Simon Wiesenthal, Shimon Samuels, lui faisait savoir que, « il y a peu, il a été porté à l’attention des dirigeants russes que les homosexuels tchétchènes subissaient des traitements barbares. Et le monde entier s’en indigne ». Il ajoutait que « les tortures et exécutions qui seraient infligées aux gays par le régime iranien semblent pourtant échapper à la vigilance du Conseil des droits de l’homme ».

La lettre rappelait que « Ramzan Kadyrov, chef de la République de Tchétchénie, avait déclaré qu’‘‘il n’y a pas d’homosexuels en Tchétchénie’’. Cette affirmation reprend celle de l’ancien président d’Iran, Mahmoud Ahmadinejad : ‘‘Il n’y a pas d’homosexuels en Iran’’... Notre Centre considère ce langage comme une déclaration d’ordre politique plutôt que démographique ».

« Son existence [Israël] constitue une violation flagrante de toutes les conventions internationales et des normes fondées sur les droits de l’homme fondamentaux. »

« Les États-Unis et les États membres qui partagent leur point de vue doivent exiger une enquête exhaustive sur la CESAO, sur son bien-fondé et son financement en tant qu’agence onusienne pour le développement économique et social. »

Paris, le 20 avril 2017

La CESAO, Commission économique et sociale des Nations unies pour l’Asie occidentale, est l’une des cinq commissions régionales instituées par l’ONU pour traiter de questions économiques et sociales, les autres étant la Commission économique pour l’Europe (CEE), la Commission économique et sociale pour l’Asie et le Pacifique (CESAP), la Commission économique pour l’Afrique (CEA) et la Commission économique pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC).

« Quatre d’entre elles se préoccupent réellement de développement économique et social, des meilleures pratiques en la matière et d’intégration régionale. Mais la CESAO, qui a son siège à Beyrouth et qui regroupe dix-huit pays arabes (l’Arabie saoudite, le Bahreïn, l’Égypte, les Émirats arabes unis, l’Irak, la Jordanie, le Koweït, le Liban, la Libye, le Maroc, la Mauritanie, Oman, le Qatar, le Soudan, la Syrie, la Tunisie, le Yémen et, bien sûr, la ‘‘Palestine’’), semble plutôt se perdre dans la haine antisémite », avançait le directeur des Relations internationales du Centre, Shimon Samuels.